Comme nous, vous vous êtes surement déjà retrouvé chez votre médecin ou votre dentiste à attendre plus d’une demi-heure au milieu de patients à la limite de la sieste. Le magazine de Sebastien Godefroy promet de vous rendre cette attente plus douce et agréable.

En effet, lorsque l’on se rend chez le médecin pour être soigné, on s’attend à être rapidement pris en charge puisqu’il s’agit d’un sujet aussi important que la santé. Ces conditions peuvent être vécues comme anxiogènes et mériteraient d’être améliorées. Le fondateur de 7oscope s’appuie sur une étude de la DREES et l’INSEE, qui estime que chaque jour, 20 personnes attendent de 15 minutes à plus d’une heure chez le médecin.

 

Une offre de lecture obsolète

 

« Mais il y a déjà à lire dans les salles d’attentes ! » me direz-vous ? C’est vrai. Mais si vous ouvrez certains de ces magazines, ne soyez pas étonnés de retrouver un article parlant de Jacques Chirac comme président au présent. En effet, l’offre de lecture est souvent obsolète et peu variée pour un lieu pourtant si incontournable. Au feu les GALA ou ELLE datés d’il y a 10 ans. Au feu les magazine vous proposant des exercices sur la décompression en salle d’attente, le magazine est mort, vive 7oscope !

 

7oscope, c’est quoi ?

 

7oscope est un magazine gratuit de 48 pages. Sebastien Godefroy explique même qu’il est « sans OGM ni glyphosate et garanti 100% français de sa conception à son impression ». Les sujets abordés par le mensuel sont nombreux : de l’actualité à la mode en passant par la culture, la cuisine, le sport et bien d’autres. Le contenu est pensé de façon à lui donner une certaine intemporalité, gardant ainsi son intérêt même avec le temps qui passe.  Celui-ci sera adressé à 75 000 professionnels de la santé en France et sera financé par la publicité dont une double page sur 15 sera néanmoins consacrée à des associations caritatives de façon gratuite.

Une collecte de fonds

 

Sébastien a besoin de votre aide afin de garder l’aspect indépendant de son magazine. Les frais sont énormes : plus de 60 000€ dont 32 000 de timbres, 10 000 pour le routage, 18 000 pour l’impression sans mentionner tout ce qui génère des frais. L’idée est réussir son lancement pour pouvoir permettre à la pub du premier exemplaire de financer le second et ainsi de suite.

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